Changer d'économie ! - Nos propositions pour 2012

Auteur(s) :


Les Économistes Atterrés (coll)


Editeur : Editions Les liens qui libèrent
Isbn : 978-2-918597-44-5
Nombre de pages : 245 pages.
Prix : 18.50€
Parution : janvier 2012
Public : tous publics Tous publics
Essai

Présentation éditeur

Début 2012, la récession menace de s'installer à nouveau.
Tirant prétexte de la pression exercée par les marchés financiers, les gouvernements européens veulent imposer aux peuples des politiques d'austérité et de régression sociale. De surcroît, l'Europe est menacée d'un recul sans précédent de la démocratie. Si l'on veut échapper à la catastrophe sociale qui se prépare dans les laboratoires de l'idéologie néolibérale, c'est dans des voies nouvelles qu'il faut résolument s'engager.
Dans ce contexte et à l'heure où se préparent dans notre pays des élections majeures, les Economistes atterrés s'invitent dans le débat. Le désarmement des marchés financiers, la réorientation du système bancaire, une profonde réforme fiscale, le renouveau des services publics, la refonte des traités européens pour mettre fin à la concurrence fiscale et sociale, la relance des investissements publics pour organiser la transition écologique, de nouvelles gestions des entreprises : voilà autant de sujets majeurs où les Economistes atterrés formulent des propositions afin d'ouvrir de nouvelles perspectives.
Aujourd'hui, le réalisme a changé de camp. Après trente ans d'aveuglement, les politiques néolibérales ont perdu toute crédibilité. Il est urgent de changer d'économie !

Sommaire

  • QUELLE POLITIQUE ECONOMIQUE? MORTS ET RENAISSANCES DU KEYNESIANISME
  • LA POLITIQUE ECONOMIQUE EN EUROPE
  • LES ENJEUX D'UNE TRANSFORMATION ECOLOGIQUE QUI SOIT SOCIALE
  • POUR UNE NOUVELLE FISCALITE
  • ELOGE DE LA DEPENSE PUBLIQUE
  • POUR UN RENOUVEAU DE LA PROTECTION SOCIALE
  • ENTREPRISES : SORTIR DE LA FINANCIARISATION
  • REDONNER UN AVENIR AU TRAVAIL
  • UN EMPLOI DE QUALITE POUR TOUS
  • POUR UN SYSTEME DE FINANCEMENT EMANCIPE DES MARCHES FINANCIERS
  • L'EFFARANTE PASSIVITE DE LA "RE-REGULATION FINANCIERE"