Économie de marché

Terme employé également pour : Économie libérale, Système capitaliste
Terme en anglais : Market economy
Voir aussi :
Concept enfant :
Concept parent :

Vidéo : Des territoires en concurrence 3-3 questions du public

Intervenants : Claude Graff (Président de TENERRDIS), Henri Jacot (Conseiller Régional Rhône-Alpes), Thierry Madiès (Professeur de Sciences économiques Université de Fribourg), Thierry Mayer (Professeur de sciences économiques à Sciences-Po et Cepii), Sandra Poncet (Professeur de sciences économiques Université Paris Sud et Cepii) et Marie-Annick Depagneux (Les Echos)

Vidéo 2 : questions du public

Intervenants : Eric Boël (PDG de LTC (Les Tissages de Charlieu)), René Passet (Grand témoin de la journée Professeur émérite d’économie à l’Université Paris-I Panthéon-Sorbonne), Cyril Peyramond (Réalisateur), Sébastien Viaud (Porteur du projet et fondateur de l'association : Résistants pour la Terre), Aurélie Vieillefosse (Chef de bureau sur les questions de santé/environnement) et Marie-Béatrice Baudet (Le Monde

Les libéralismes économiques et la crise

Document de travail de M. De Vroey, Discussion Paper 2009-20, IRES, Université catholique de Louvain.

L'auteur explore ici la notion de libéralisme montrant que ce n'est pas une réalité monolithique. Il rappelle d'abord les traits généraux du libéralisme économique puis évoque la justification qu'en a donnée Adam Smith, avant de montrer comment différentes formes de libéralisme se sont enchaînées historiquement, notamment en réaction aux grandes crises économiques.

La globalisation financière en question

Dans ce texte produit pour une journée de réflexion sur la crise actuelle organisée par le centre de recherche en économie de Sciences Po (l'OFCE) le 12 février 2009, Anton Brender et Florence Pisani tirent les mêmes leçons aux niveaux micro-économique et macro-économique: il faut mettre en place un système de surveillance de la stabilité financière et assurer une plus grande coopération entre les Etats.  

Le capitalisme est-il durable ?

Dans ce texte, Bernard Perret présente son ouvrage "Le capitalisme est-il durable? ". Partant du constat de l'existence d'une crise tant écologique qu'économique, il propose 4 axes de réflexion vers "une nouvelle société du bien-être": l'économie symbiotique, les métamorphoses de la propriété, la gouvernance et les raisons d'agir.

Texte: Réguler la liquidité bancaire

Jean-Paul Pollin souligne que la crise s'est propagée par la contraction de la liquidité sur les marchés monétaires et financiers. Il distingue deux types de risque de liquidité: celui présent dans l'intermédiation bancaire et celui présent dans l'intermédiation de marché, le premier étant plus facile à réguler. Il montre qu'une régulation des institutions reste très difficile et qu'il faut alors soit contrôler les innovations financières, soit segmenter les activités de marché et celles de la banque traditionnelle.

Comment répondre à la crise après le sommet du G20?

André Cartapanis s'interroge sur le projet de régulation financière internationale adopté lors du sommet du G20 le 15 novembre 2008. Il montre en quoi la feuille de route issue de ce sommet s'éloigne des options libérales définies dans la décennie précédente mais il met en doute sa capacité à vraiment fonder une nouvelle architecture internationale. Il dégage les lignes de force pertinentes du projet tout en montrant qu'il reste à repenser la gouvernance financière internationale. 

Asymétrie d'engagements internationaux et ajustement aux frontières : le marché européen de quotas de CO2

Diapositives présentées par Olivier Godard, CNRS et Ecole Polytechnique. Après un bref historique de la mise en place du marché européen de quotas de CO2, O. Godard introduit le problème de l'ajustement aux frontières, dont la résolution sans concertation peut mener à l'impasse.

Comment caractériser la crise financière internationale de 2007-2008?

André Cartapanis présente les différentes étapes de la crise financière internationale de 2007-2008 en insistant sur sa double origine: l'apparition de nouveaux produits financiers très risqués, et l'existence de déséquilibres macroéconomiques qui ont conduit à un excès de liquidité mondiale. Il la situe dans l'histoire des crises financières en montrant en quoi elle est à la fois une crise classique du système et une crise singulière par son ampleur.