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Sondage réalisé pour les Jéco / Banque de France par TNS Sofres

La présentation a été faite lors de la séance d'ouverture.

Intervenants : Intervenants : Antoine d'Autume (Professeur de Sciences économiques), Michel de Vroey (Professeur à l'université de Louvain), Dany Lang (Maitre de conférences en sciences économiques),  André Orléan (Directeur de recherches CNRS) et Christian Chavagneux (Alternatives Economiques)

Intervenants : Gilles Bellec (Conseil général de l'industrie de l'énergie et des technologies Ministère de l'économie de l'industrie et de l'emploi), Michel Fouquin (Directeur adjoint du CEPII) François Grosse (Chargé de mission auprès de Denis Gasquet, Directeur général de Veolia Propreté) et Hadj Saadi (Enseignant en économie à l'université Pierre Mendès France de Grenoble)

Intervenants : Michèle Debonneuil (Inspecteur général des Finances), Paul Van Den Noord (Conseiller économique auprès du Chef Économiste au Département des affaires économiques de l’OCDE) et Jean-Marc Vittori (Les Echos)

Intervenants : Didier Blanchet (Responsable du département des Etudes Economiques d'Ensemble (INSEE)), François Bourguignon (Directeur de l'Ecole d'économie de Paris), Roger Guesnerie (Professeur de Sciences économiques), Laurence Rioux (Chercheur au Centre de Recherches en Economie et Statistique) et Serge Marti (Vice-président de l'Association des journalistes économiques et financiers)

Cette étude (en anglais) a été réalisée à la demande du Ministère de la Santé, de la Jeunesse, des Sports et de la Vie Associative afin de mesurer l'impact économique de la Coupe du Monde de Rugby.

Cette présentation questionne la définition des classes moyennes. Les mesures faites par l'INSEE, basées sur le niveau de vie, sont de plus en plus précises. Elles montrent qu'il n'y a pas en France, contrairement aux Etats-Unis de décrochage entre le revenu médian et le revenu moyen. Au contraire, les analyses de la consommation montrent une certaine convergence dans les biens d'équipement. La mesure des perceptions des ménages montrent aussi une hausse des dépenses pré-engagées des ménages modestes.

Intervenants : Régis Bigot (Directeur adjoint du département Conditions de vie et aspirations des Français du Credoc), Pierre-Noël Giraud (Professeur d'économie à Mines ParisTech et à Paris Dauphine),  Florence Jany-Catrice (Maître de conférences à l’Université de Lille I), Jean-Louis Lhéritier (Chef du département des prix à la consommation, des ressources et des conditions de vie des ménages de l’Insee) et Guillaume Duval (Alternatives Economiques)

Conférence avec Bertrand Gaget (Administrateur MAIF), Gaël s.j. Giraud (Chargé de Recherche CNRS), Pierre-Noël Giraud (Professeur d'économie à Mines ParisTech et à Paris Dauphine), Jean-Christophe Le Duigou (Secrétaire de la CGT) et Jean-Marc Vittori (Les Echos)

Questions de la salle

Note de conjoncture de HSBC Global Research proposée par Mathilde Lemoine

Des politiques monétaires et budgétaires sans précédent ont arrêté la récession mais la fin des plans de relance et la baisse de la consommation des ménages en 2010 vont limiter la reprise, comme la poursuite du désendettement des acteurs privés puis les risques de krach obligataire.

Diapositives de la conférence de Pierre Dockès. Contient également une bibliographie.

Pierre Dockès revient ici sur la théorie marxienne des crises, avant de proposer une analyse marxiste de la crise de 2007-2009.

Dans la note de veille du Centre d'Analyse Stratégique n°14 de juin 2006, trois arguments principaux sont avancés pour expliquer le décalage entre pouvoir d'achat perçu et pouvoir d'achat mesuré. Premièrement, la mesure de référence est le pouvoir d'achat agrégé des ménages et non le pouvoir d'achat par ménage. Deuxièmement, l'impression d'une dégradation du pouvoir d'achat résulte de l'augmentation du prix et du périmètre de ce que l'on appelle les "consommations contraintes". Troisièmement, le décalage provient de la correction de l'effet "qualité" attribué à certains produits.

Une partie de l'intervention de Fabrice Lenglart, celle sur la problématique du pouvoir d'achat, s'appuyait sur ce dossier de l'INSEE, datant de 2007. Les auteurs s'interrogent en particulier sur les raisons du décalage entre l'évolution du pouvoir d'achat perçue par les ménages et celle dont rend compte sa mesure macroéconomique. Ils proposent plusieurs explications (variations du patrimoine des ménages, rôle de la dynamique démographique...)et évoquent des méthodes alternatives pour mieux tenir compte de la diversité des situations individuelles.