Richesse, richesse virtuelle et dette

Auteur(s) :


Soddy Frederick

Ouvrage traduit par Jean-Paul Devos
Editeur : Les Editions Persée
Isbn : 978-2823110258
Nombre de pages : 334 pages.
Prix : 23.00€
Parution : janvier 2015
Public : tous publics
Essai

Présentation éditeur

Cet ouvrage d’économie a cela d’original qu’il a été rédigé par un scientifique (prix Nobel de chimie) et traduit par un physicien, près d’un siècle après sa parution en langue anglaise. Dans le texte publié en 1926, l’auteur, Frederick Soddy, met en lumière la nature exponentiellement divergente du système bancaire et pressent ses effets lors du siècle suivant. Il s’appuie sur les lois de la physique pour établir une théorie scientifique de l’économie où, notamment, les dettes ne peuvent pas enfl er sans limites. Les règles de l’économie mondiale et les analyses qui en découlent ont été échafaudées par la haute finance au service d’elle seule, sans aucune considération des principes physiques précédemment mentionnés. Selon Soddy pourtant, la gouvernance économique aurait beaucoup à gagner à être traitée «avant tout comme une affaire d’ingénierie scientifique, et non une affaire de comment tirer des intérêts de morceaux de papier».

Traducteur
Jean-Paul Devos naît à Toulon en 1949. À 28 ans, il s’installe en région parisienne. Spécialiste en aéro et hydroacoustique, ainsi qu’en thermodynamique, il passe les 20 dernières années de sa carrière au sein de la division R&D d’EDF, sur des problématiques liées à la sûreté des centrales nucléaires. Lors de son départ à la retraite, il s’est interrogé sur le fonctionnement du système économique actuel et sur le lien entre thermodynamique et économie. C’est là qu’il a découvert l’ouvrage méconnu de Frederick Soddy qui n’est plus imprimé et qui n’avait jamais été traduit. Pour le faire découvrir aux francophones, Jean-Paul Devos s’est lancé dans sa traduction.