Idées reçues sur l’économie collaborative

Auteur(s) :


Slim Assen
Prieto Marc (Professeur, Essca école de management)


Editeur : Le Cavalier Bleu
Isbn : 9791031802374
Nombre de pages : 176 pages.
Prix : 20.00€
Parution : juin 2018
Public : tous publics
Essai

Présentation éditeur

L’économie collaborative connaît ces dernières années une ascension fulgurante et touche désormais tous les secteurs de notre société : consommation, production, finance, éducation, santé, culture, déplacement, etc. Certains y voient une innovation majeure susceptible de transformer le capitalisme en profondeur, voire de le dépasser. D’autres, au contraire, dénoncent une ubérisation de la société et une marchandisation des rapports humains, ultime stade d’un capitalisme débridé. L’économie collaborative ne laisse personne indifférent et pose légitimement question.

Il ne s’agit pas dans ce livre de prendre parti pour ou contre l’économie collaborative, mais d’apporter l’éclairage le plus objectif possible pour se forger sa propre opinion sur les principaux sujets en discussion.

 Sommaire :

Consommer autrement et produire ensemble

« L’économie collaborative, c’est l’ubérisation de la société. »
« L’économie collaborative, c’est l’économie du partage. »
« L’économie collaborative, c’est une révolution dans le monde de l’éducation et de la diffusion des connaissances. »
« L’économie collaborative, c’est la fin de la propriété. »
« L’économie collaborative, c’est consommer autrement. »
« C’est une économie des plateformes alimentée par le Big Data. »
« L’économie collaborative, c’est l’ère des prosumers et des makers. »

 

Réinventer un nouveau modèle de société

« L’économie collaborative véhicule les valeurs du développement durable. »
« L’économie collaborative, c’est un effet de mode. »
« L’économie collaborative, c’est le modèle américain. »
« L’économie collaborative annonce la disparition du salariat. »
« L’économie collaborative, c’est de la concurrence déloyale. »
« Le crowdfunding annonce la fin des banques. »
« L’économie collaborative, c’est la fin du capitalisme. »