Conférence organisée le
La crise du Covid à mis en avant la question de la résistance à l'adoption de comportements favorables à la santé (individuelle et/ou collective). L'incitatif financier n'est généralement activé qu'indirectement (en favorisant l'accès financier aux soins ou en renchérissant la consommation de biens délétères pour la santé) alors qu'il pourrait être mobilisé plus directement pour inciter à l'adoption de comportements vertueux (arrêt du tabac, vaccination, activité physique ...) via des transferts monétaires. Quelles sont les expériences en France et à l'étranger en la matière ? Pour quels résultats ? Quelles sont les résistances éthiques possibles ? Est-ce un mode incitatif généralisable, soutenable ?
Président de séance
Jusot Florence (Professeur en sciences économiques, Université de Paris Dauphine)Intervenants :
Goldzahl Léontine (Professeur d'économie, IÉSEG School of Management)Thébaut Clémence (Maître de conférences en Économie de la santé, Université de Limoges)
Vignier Nicolas (Professeur des universités, Université Sorbonne Paris Nord et praticien hospitalier, hôpital Avicenne)
Wittwer Jérôme (Professeur d'économie, Institut de Santé Publique d'Epidémiologie et de Développement (ISPED) de l'université de Bordeaux)