Basé sur les caractères socioculturels propres à un pays plutôt que sur son intégration à l'économie mondiale.
Diapositives présentées lors de la conférence, exposent les différences avec les banques commerciales mais également traitent du problème de la réglementation. L'auteur présente également un tableau sur les subventions implicites des grandes banques françaises et le taux d'imposition implicite du secteur bancaire
Intervenants : Béatrice Barras (Gérante d'Ardelaine), Jean-François Draperi (Directeur du Centre d’économie sociale Travail et société (Cnam)), Cyril Kretzschmar (Conseiller régional délégué en charge de la Nouvelle économie et de l’ESS), Francis Vercamer (Député du Nord) et Dominique Viel (Ministère de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi)
La faible intégration des pays d'Afrique les protège-t-ils de la crise financière ? Non, car les exportateurs africains se révèlent très sensibles à la crise, et victimes plus que les autres d'un effet revenu (la consommation et les importations baissent dans les pays partenaires) et surtout d'un effet destruction : la crise financière augmente le coût du commerce, et cet effet affecte plus les pays perçus comme risqués.