Vidéo : Séance d’ouverture Jéco 2012

Intervenants : Pascal Le Merrer (Directeur Général des Journées de l'économie), Gérard Collomb (Sénateur - Maire de Lyon - Président du Grand Lyon), Jean-Louis Gagnaire (Député de la Loire 2ème circonscription – Vice-président de la région Rhône-Alpes), Philippe Grillot (Président de la CCI de Lyon), Patrick Haas (Direction de la Communication, Banque de France), Anne Lauvergeon (Présidente du Conseil de Surveillance de Libération), Françoise Moulin Civil (Rectrice de l'académie de Lyon chancelière des universités) et Stéphanie Paix (Président du directoire de la Caisse d’Epargne Rhône Alpe

Peut-on prévoir, donc peut-être éviter les crises financières ?

Les évolutions économiques marquantes se font, surtout depuis les années 1990, non de manière continue mais dans des crises financières de natures diverses :
- explosions de bulles spéculatives sur les prix des actifs (actions en 1997, 2000 ; immobilier et actifs complexes liés à l’immobilier en 2007-2008) ; ces explosions de bulles conduisent à la révélation de l’excès d’endettement, d’où le basculement dans une dynamique de désendettement ;

Il faudrait reconstruire les fondements des politiques monétaires

Le fondement présent des politiques monétaires de la grande majorité des Banques Centrales est la théorie de la crédibilité des Banques Centrales dans la lutte contre l’inflation. Elle a été développée au début des années 1980 après la grande poussée d’inflation liée aux deux chocs pétroliers de 1974 et de 1979.

Mais maintenir la crédibilité anti-inflationniste est-il aujourd’hui le problème central des Banques Centrales ? Il nous semble qu’elles sont plutôt confrontées :
- à des situations d’excès d’endettement ;

Quels outils de pilotage public et privé pour optimiser un management territorial stratégique de l’innovation à l’échelle de la région Rhône-Alpes ?

Cette communication proposée par Bénédicte Daudé est le fruit d’une recherche contractuelle commencée en janvier 2009 sur le thème «Pôles de compétitivité, grandes entreprises et PME quel partage des rôles ?» financée par la CDC, la région Rhônealpes dans le cadre du cluster de recherche 12 et le Grand Lyon

L’économie de la fonctionnalité, pour un développement plus durable

La crise financière actuelle n’est qu’un aspect d’une crise structurelle plus profonde : celle du modèle industriel fordien, de plus en plus contradictoire avec les exigences du développement durable. Parmi différents «modèles économiques d’entreprise» alternatifs, l’économie de la fonctionnalité est le seul qui propose un réel régime de développement durable à la mesure des enjeux. Pour y parvenir, la capacité d’innovation institutionnelle sera déterminante.

Vidéo : Faut-il en finir avec le principe de précaution

Conférence off

Participants :Jean de Kervasdoué (Economiste de la santé, titulaire de la chaire d'économie et de gestion des services de santé du conservatoire national des arts et métiers), Bernard Gaud (Medef Rhône-Alpes), Philippe Kourilsky (Professeur au Collège de France et Membre de l'Académie des Sciences), Denis Lafay (Acteurs de l’Economie), Jean-Hervé Lorenzi (Professeur à l’Université Paris-Dauphine, Président du Cercle des économistes), Thierry Philip (Vice-président du Grand Lyon), et Bernard Jacquand (Acteurs de l’Economie) 

Vidéo : Rencontre avec Irving Fisher : les pièges du désendettement

Intervenants : Olivier Brossard (Professeur de sciences économiques à l’IEP Toulouse), Rebeca Gómez Betancourt (Maître de Conférences de Sciences économiques à l’Université Lumière Lyon 2), André Orléan (Directeur de recherches CNRS), Adrien Vila (Doctorant en économie à l'EHESS) et Serge Marti Président de l'Association des journalistes économiques et financiers)

Les banques centrales dans la tempête,

"Le CEPREMAP publie en janvier 2012 un nouvel opuscule de Xavier Ragot, professeur associé à l'École d'économie de Paris et chercheur au CNRS, intitulé Les banques centrales dans la tempête. Pour un nouveau mandat de stabilité financière. Cet opuscule explique comment les politiques monétaires accommodantes des banques centrales, et leur trop grande confiance dans l'évaluation des risques par les acteurs financiers, ont contribué à accentuer les déséquilibres financiers avant 2007.