Rarement l'information crédible n'a été aussi essentielle durant la pandémie de la Covid. Entre les "sachants' et les "gourous", les rumeurs et les vidéos de tous ordres, les citoyens, jeunes ou moins jeunes, ont hésité entre l'adhésion, le scepticisme, la peur, la révolte, ou la fascination pour les réseaux complotistes.

Dans ce contexte inconnu -social, économique, politique- le rôle des journalistes, ces passeurs de faits confirmés, a pris une importance sans précédent. C'est aussi le cas pour les politiques, en ces temps d'élections après les dérives de la présidence Trump. Mais aussi pour les chercheurs, les Gafam (Google, Amazon, Facebook, Microsoft) les réseaux sociaux.

Pour le meilleur ou pour le pire? La réponse n'est pas simple.

Pour avancer dans la réflexion, la France, la Commission européenne mais aussi les journalistes de terrain et de tous les médias tentent de tirer les leçons -professionnelles et financières- des derniers mois.

Le débat tentera d'y voir plus clair sur la façon d'aider tout un chacun à décrypter les vraies et fausses informations.

Et sur la frontière entre liberté d'expression sur le net et censure légale ou laissée aux plateformes telles Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft.