Pourquoi et comment attirer les entreprises étrangères ? Le cas de la France et du Royaume-Uni (Vidéo disponible)

Conférence organisée le

Depuis les années 1980, le Royaume-Uni a fait de l’attraction d’investisseurs étrangers un élément clé de sa politique industrielle. À la différence de la France, le pays a laissé vendre la plupart de ses fleurons nationaux. C’est aujourd'hui le pays qui attire le plus d’investissements directs étrangers en Europe. La France, elle, se classe au troisième rang derrière l’Allemagne. L’analyse des politiques de promotion des IDE des deux pays soulève de nombreuses interrogations: le maintien d’une industrie forte dans un pays passe-t-il par la préservation de ses champions nationaux ou par l’implantation d’entreprises étrangères ? Sous quelles conditions les investisseurs étrangers peuvent-ils participer à la croissance économique d’un pays, d’un territoire ? Quelles sont les meilleures pratiques pour attirer et retenir des IDE ?

Modérateur :

Escande Philippe (Editorialiste au Monde)

Intervenants :

Montout Sylvie (Chef Economiste de Business France)
Foddis Jean-Charles (Directeur Executif de l’Aderly)
Di Paola-Galloni Jean-Luc (Directeur délégué affaires publiques et développement durable du Groupe Valeo )
Tibi Philippe (Professeur de finance et de stratégie à l’Ecole polytechnique)
Toubal Louisa (Chef de projet La Fabrique de l'industrie)

Vidéo de la conférence :

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Introduction

Pourquoi attirer les investissements étrangers

Les actions de la Métropole de Lyon

Comment faire venir les entreprises

Les possibles effets négatifs des investissements étrangers

En conclusion : Que changer en France


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Intervenants : Jean-Luc Di Paola-Galloni (Directeur délégué affaires publiques et développement durable du Groupe Valeo) ; Jean-Charles Foddis (Executive Director ADERLY - INVEST IN LYON / ONLYLYON) ; Sylvie Montout (Chef Economiste de Business France) ; Philippe Tibi (Professeur de finance et de stratégie à l’Ecole polytechnique) ; Louisa Toubal (Chef de projet La Fabrique de l'industrie) et Philippe Escande (Le Monde)