taux d’intérêt

Terme en anglais : interest rate
Concept parent :

Vidéo : La secular stagnation est-elle notre avenir à long terme ?

Intervenants: Philippe Aghion (Professeur au Collège de France, Chaire «Institutions, Innovation, et Croissance») ; Michel Aglietta (Professeur émérite d’économie, conseiller scientifique au CEPII et à France Stratégie) ; Gilles Dufrénot (Professeur à l’Ecole d’Economie de Marseille et chercheur associé au CEPII) ; Cécilia Garcia Penalosa (Directeur de recherche au Cnrs et membre de l’École d’économie d’Aix-Marseille) et Gilbert Cette (Banque de France)

vidéo : A quoi servent les banques centrales sans inflation ?

Intervenants : Patrick Artus (Chef économiste de Natixis et membre du Comité Exécutif, Professeur-associé d'économie à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne) ; Benoît Coeuré (Membre du directoire de la Banque centrale européenne) ;  Pierre Jaillet (Conseiller spécial du Gouverneur – Banque de France) ;  Florence Pisani (Economiste, Candriam) ;  Natacha Valla (Chef de la Division Politique et Stratégie du Département Analyses économiques à la Banque européenne d’investissement) et Marie Dancer (La Croix)

A quelles questions théoriques les Banques Centrales doivent-elles répondre ?

L’expérience de politique monétaire très expansionniste depuis 2008 dans les pays de l’OCDE, et les trajectoires économiques des pays de l’OCDE, conduisent à s’interroger sur les fondements théoriques des politiques monétaires. Quelles sont les questions posées ?

* y a-t-il encore un arbitrage entre inflation et chômage à court terme (y a-t-il encore une courbe de Phillips) ? Si la réponse est négative, le fondement de la politique monétaire contracyclique de court terme disparaît ;

Peut-être n’avons-nous plus de théorie de l’inflation, que ce soit à court terme ou à long terme. Que doivent faire alors les Banques Centrales ?

Documents utilisés par Patrick Artus. Afin d'illustrer la courbe de Phillips il présente des graphique présentant le taux de chômage et le salaire nominal puis avec l'inflation sous jacente par tête pour les Etats-Unis, la zone euro, le Japon, l'Allemagne. Afin d'illustrer la relation entre la croissance et de l'offre de monnaie et l'inflation il utilise des graphiques mettant en relation  a base monétaire, la masse monétaire M2 et l'inflation depuis les annnées 90  

vidéo : Politiques monétaires, risque de déflation et effets redistributifs

Intervenants : Aurélien Eyquem (Professeur de Sciences économiques à l'Université Lyon 2 et conseiller scientifique au Conseil d'Analyse Économique), Julien-Pierre Nouen (Economiste-Stratégiste (Lazard Frères Gestion)),  Florence Pisani (Economiste, Candriam), Xavier Ragot (Président de l’OFCE, Chercheur CNRS) et Benoit Mojon (Banque de France)

Vidéo : Euro : une crise qui dure, pour quel rebond ?

Intervenants : Agnès Bénassy-Quéré (Professeur à l’Ecole d’Economie de Paris / Président-déléguée du CAE), Sylvie Goulard (Députée européenne, élue dans la circonscription Ouest de la France), Ulrike Guérot (Representative for Germany & Senior Policy Fellow European Council on Foreign Relations), Hélène Rey (Professor of Economics (London Business School)), Natacha Valla (Directeur Exécutif, Recherche Macroéconomique Goldman Sachs Paris) et Sandra Moatti (Alternatives Economiques)

L’inexorable désintermédiation du financement des entreprises de la zone euro : est-on prêt à en assumer les conséquences ?

Ce document présente les modèles de financement des entreprises aux USA et pour la zone euro, les nouvelles contraintes des banques de la zone euro dans le cadre de la mise en place de la réglementation de Bâle 3.

Démons de la crise ou démons de la mondialisation

Maintenant que "le pire de la crise est passé", où va-t-on ? Les causes de la crise sont diverses (bulle immobilière aux Etats-Unis, défaillance de régulation financière, déséquilibres mondiaux,...), mais sa caractéristique principale semble avoir été sa vitesse de propagation dans le monde. Les réponses à la crise ont été en partie tirées des leçons des années 1930, mais François Bourguignon montre ici que l'organisation actuelle de l'économie mondiale appelle une réponse principale pour l'avenir : l'amélioration de la gouvernance mondiale.

Une tribune

Tribune du 19 juin 2008 de Mathilde Lemoine, économiste, directeur des Etudes Economiques et de la Stratégie Marchés chez HSBC France. La hausse du prix des matières premières résulte certes de la hausse de la demande des pays émergents mais aussi de la politique monétaire expansionniste des pays développés et émergents. En ce sens, une hausse des taux directeurs de la BCE est un moyen efficace de lutter contre l'inflation malgré son impact négatif sur la croissance.

Comment caractériser la crise financière internationale de 2007-2008?

André Cartapanis présente les différentes étapes de la crise financière internationale de 2007-2008 en insistant sur sa double origine: l'apparition de nouveaux produits financiers très risqués, et l'existence de déséquilibres macroéconomiques qui ont conduit à un excès de liquidité mondiale. Il la situe dans l'histoire des crises financières en montrant en quoi elle est à la fois une crise classique du système et une crise singulière par son ampleur.